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Montréal une ville à l’économie digitale dynamique !

Bonjour à toutes et à tous !

Nous allons aujourd’hui vous parler de Montréal une ville à l’économie digitale dynamique. Dans le cadre de nos études à l’ESCEN, nous sommes partis pendant 2 mois étudier les différents aspects du jeu vidéo sur place, avec des professionnels locaux. Nous avons découvert tout au long de notre séjour la culture Montréalaise, parfait mélange entre la culture Nord-Américaine et Française. C’est sans aucun doute cette mixité qui fait du Québec une terre d’accueil de première qualité.

Certains des choix politiques et économiques audacieux comme les crédits d’impôts pour le secteur peu connu des jeux vidéo furent des tournants décisifs pour la prospérité du Québec. Un choix judicieux puisque aujourd’hui le jeu vidéo est devenu le bien culturel le plus vendu au monde ! Et Montréal se classe en 3ème place du pôle au niveau mondial.

Si le secteur des jeux vidéo apporte un dynamisme certain à l’économie Montréalaise, ce n’est pas la seule raison de la force de l’économie digitale à Montréal. Les startups aussi sont en plein essor : il existe environ 2600 startups présentes à Montréal en 2015.

Dans ce dossier, vous retrouverez une présentation de l’industrie des jeux vidéos, des startups présentes sur place et de cette culture de l’entrepreuneuriat, et enfin les évènements à ne pas manquer sur place dans le plus large domaine du digital. Une introduction globale des aspects professionnels que vous étudierez lors de votre prochain séjour de Bachelor 3.

 

Partie 1 :
LE JEU VIDÉO A MONTRÉAL OU COMMENT FAVORISER L’ESSOR D’UN SECTEUR A FORT POTENTIEL !

 

A. Triple A (AAA) – Les monstres du secteur

 

En tout, Montréal compte plus de 320 studios dédiés à la création et au développement de jeux vidéo, tous supports confondus dont des enseignes cultes : UBISOFT, EIDOS, BEENOX (filiale d’Activision).

En plein essor aujourd’hui encore, le domaine représente plus de 9000 emplois au Québec seulement. Nous avons eu la chance de visiter divers studios qui nous ont ouverts les portes du fonctionnement interne de ce type d’entreprises. Malheureusement, pour des questions de confidentialité, je ne peux vous citer leurs noms.

De très grosses licences ont vu le jour ici à Montréal : l’incontournable série des Assassins Creed, les Deus Ex, Far Cry, la série des Hitman et bien d’autres. Autant de jeux que nous avons tous eu entre les mains un jour ou l’autre.

Si autant de jeux ont vu le jour ici, c’est entre autres grâce aux crédits d’impôts qui sont proposés aux compagnies de jeux vidéo. Le Canada ayant rapidement compris le potentiel de cette industrie en croissance constante depuis vingt ans, il a pu attirer près de 400 entreprises dans la création de jeux vidéo (de gros studios comme des studios indépendants).

Ainsi le chiffre d’affaires du secteur s’élève à 2,3 milliards de dollars par année pour le seul Canada.

Si dans le catalogue de jeux on dissocie les jeux Indies et AAA, on comprend réellement pourquoi quand on passe d’un studio à un autre. Notre visite à Eidos Interactive et Square Enix nous a permis de profiter d’une intervention des membres des équipes de gros projets mobile et console. L’organisation dont nous avons pu être témoins reflète clairement une grosse disponibilité de capital. Cela permet une production bien plus intense de par son rythme et encore plus riche de par son contenu.

 

 

Fonctionnement interne

 

À l’intérieur des studios, nous entrons dans un autre monde qui nous rappelle sans hésitation l’univers du siège Google en Californie : les employés des groupes disposent d’énormes avantages sociaux pour favoriser la créativité et la fidélité des salariés à la marque. Des chefs cuisinent sur place, les employés disposent d’horaires libres et de salles de détente. De nombreux évènements (des soirées par exemple) sont également organisés pour favoriser l’esprit d’équipe et encourager la solidarité. Grâce à ces systèmes, la productivité et la créativité sont exacerbées.

Le gouvernement offre de nombreuses subventions dans le domaine, permettant à la ville de rester au top de sa position au niveau mondial.

Beaucoup d’étrangers se déplacent à Montréal pour toutes les possibilités qu’elle offre dans le domaine, et les avantages sociaux qu’elle apporte en plus du style de vie similaire aux USA. Les indies (jeux indépendants) se développent massivement et offrent d’énormes opportunités à tout passionné de l’industrie. Vous pouvez donc autant travailler dans de petites structures que dans de véritables “usines” où parfois plus de 400 personnes travaillent dans un même bâtiment.

 

Ubisoft

 

Le studio de Montréal est sans doute le plus charismatique et le plus important pour la firme. En effet Ubisoft Montréal a développé tous les plus gros blockbusters de ces dernières années (Assassins Creed, Watch Dogs, Far Cry, Rainbow Six…). On peut se demander : pourquoi est-ce le studio de développement Québécois d’une grande firme française du jeux vidéo qui est le plus développé ?

Ubisoft Montréal emploie en 2013 pas moins de 2 400 employés et la politique d’aide au développement de l’industrie du jeux vidéo du Québec en est la plus grande raison. En effet, en 2005, une aide de 5 millions de dollars canadien a permis au studio de s’installer et de s’accroître massivement. Il profite également d’un fort allègement fiscal.

Une aide financière toute simple a « boosté » l’efficacité d’un seul studio dans une industrie qui sans cesse « grapille » des parts dans le domaine des divertissements culturels. Il serait bon que d’autres pays comme la France prennent exemple sur la politique Québécoise, plutôt que de freiner la progression inexorable de cette industrie et de se rendre par la même occasion moins attractif que d’autres pays.

 

Eidos

 

Eidos Montréal est une filiale créée par Eidos interactive en 2007. Son rôle est de développer des jeux AAA tel que ceux de la licence Deux ex, Thief ou encore l’un des piliers du jeu vidéo : Tomb Raider.

Le studio Montréalais compte environ 500 employés ce qui comprend 30% de programmeurs, 30% d’artistes (2D/3D), 24% d’animateurs, 2% d’artistes sons, 7% en charge des tests et de la qualité ainsi que 7% dans le marketing et l’administration. Le développement de l’un de ces jeux dure au minium 3 ans, pour cela ils créent sur mesure leur propre moteur de jeu dans leur section R&D. Cette dernière mobilise environ 200 personnes (du game development à la programmation pour enfin passer au marketing).

 

B. LES INDIES : les petit producteurs, mais pas des moindres

 

Nous avons tout d’abord visité les studios hébergés par l’Espace Ludique qui fonctionne comme un incubateur. Plusieurs startups se partagent les locaux ainsi que les ressources pour permettre à de jeunes compagnies de favoriser le développement de leur produits. Dans cette structure, même si chacun travaille pour sa compagnie, il n’est pas rare de s’entraider. Exécution Labs est un pionnier en tant qu’accélérateur et plates-formes d’investissement pour jeunes compagnies de jeux vidéo. Ils ont établi leur quartier général à l’Espace ludique. Nous avons pu échanger avec plusieurs personnes à propos de leurs expériences en gestion de projet, production d’un jeu ou création de startups pour des structures à taille humaine.

 

C. AGENCES / ENTREPRISES SATELLITES : comment les jeux vidéo dynamisent toute une économie

 

Le chiffre d’affaires général des jeux vidéos devrait croître annuellement de 6,5 % pour atteindre 87 milliards de dollars américains. Ce chiffre d’affaires est généré par l’ensemble des structures travaillant dans cette industrie y compris les entreprises satellites.

Les entreprises dîtes “satellites” de l’industrie vidéo ludique font partie intégrante du paysage Montréalais. Mais qu’est-ce qu’une entreprise satellite ? C’est une petite startup ou un petit studio qui se retrouve sollicité pour participer à de grands projets comme des AAA en tant que sous-traitant.

La sous-traitance, ou la bouée de sauvetage des grands studios, car au final elle est loin d’être négligeable pour les studios qui n’ont pas la capacité d’intégrer des nouveaux locaux ou d’accueillir du personnel pour certains domaines d’activités comme le motion design, ou la modélisation 3D. Différentes entreprises sortent du lot et proposent leurs services aux plus gros studios comme Electronic Arts, Ubisoft, Warners…

 

Frima

Entreprise de sous-traitance basée à Québec depuis 2003, avec plus de 250 employés aujourd’hui, crée des produits destinés au web, aux mobiles ou aux consoles de jeux.

L’entreprise ne cesse de voir son CA augmenter puisqu’elle se diversifie pour produire des jeux multi-plateformes, ce qui lui assure une réactivité et une concentration sur les marchés porteurs de l’industrie.

 

Aptitude X

Lancée en 2012 à Montréal, ce studio propose l’externalisation dans la production d’objets 3D et le développement d’applications et de jeux destinés aux plates-formes mobiles et aux réseaux sociaux. L’entreprise met à disposition de ses clients un ensemble de tâches à externaliser comme la gestion des projets, la mise à disposition d’artistes créatifs et de développeurs expérimentés à Montréal.

 

Hibernum

Studio d’animation et de création de jeux vidéo basé à Montréal. Hibernum est reconnu pour ses créations 2D et 3D ainsi que ses techniques de monétisation et mécaniques virales. De par son expérience et ses connaissances dans le domaine du jeux vidéo, Hibernum peut donc fournir à ses partenaires une solution adaptée à leur stratégie de développement.

Nous avons eu la chance de visiter les locaux de l’entreprise pendant notre séjour. Nous y avons vu la vie en studio, tous les avantages réservés aux salariés comme la flexibilité des horaires ou encore un chef sur place qui prépare des déjeuners équilibrés pour les salariés matin, midi et soir comme pour le weekend. Ils ont aussi une salle de détente avec consoles pour la pause déjeuner ou tout autre pause.

 

D. ÉVÈNEMENTS

 

Étant un HUB important de l’industrie vidéo ludique, Montréal accueille naturellement des événements majeurs liés aux jeux vidéo. Parmi ces événements on peut citer le festival des jeux Indies, le festival “Montréal joue” ou encore le MIGS. Le MIGS est sous doute le plus intéressant et important des trois :

 

Le MIGS c’est le “Montréal International Game Summit” ou le “Sommet International du Jeu de Montréal” (aka: SIJM ce qui faut l’avouer est beaucoup moins attirant). C’est un salon sur les jeux vidéo qui a lieu chaque année depuis 2004 en novembre au palais des congrès de Montréal. Contrairement à l’E3 de Los Angeles ce salon n’est pas destiné à la presse et au grand public mais plutôt à tout le milieu professionnel.

 

Le salon se divise en trois parties distinctes :

La première correspond à la zone de conférences. Cette année par exemple les conférenciers étaient :  Brandon Beck (CEO de Riot Games), Marty O’Donnell (Compositeur de Halo et Destiny), Ray Musika (Co-fondateur de Bioware) et de nombreux autres qui aborderont de nombreux sujets et domaines différents.

La seconde partie est sans doute la plus importante du salon pour les professionnels. En effet, c’est l’espace affaires. Ici tous les professionnels ayant l’accréditation pourront se rencontrer, discuter et même passer des contrats (En 2015 de nombreuses entreprises ont passer des contrats lors de ces rencontres tel que : Apple Canada Inc,Bandai Namco, Microsoft Game Studio,Sony Computer Entertainment of America,Square Enix, Strategy First Inc., Tencent Games,Warner Brothers Games ou encore Ubisoft.

Enfin il y a une partie exposition qui se rapproche beaucoup plus d’un salon classique tel que L’E3 ou la Paris Games Week. On y retrouvera des stands de studios de développement, les centres de formation, les différentes plateformes de jeux, les éditeurs/distributeurs.

 

PARTIE 2 :
LES STARTUPS À MONTRÉAL UNE AUTRE FACON D’ENCOURAGER LA CREATION D’ENTREPRISE

 

A. LES INCUBATEURS HISTORIQUES

 

Nous avons déjà parlé d’incubateurs de publishers de jeux vidéos. Mais il faut savoir que Montréal dispose d’un dispositif légal qui favorise grandement la création d’entreprise. Cette facilité se traduit notamment par la présence de grands incubateurs de startups. Pour n’en citer qu’un, Founder Institute s’est installé en 2014 à Montréal. Créé en 2009 dans la Silicon Valley, cet incubateur n’investit pas directement dans les entreprises qu’il incube. La rémunération de l’espace se fait via un forfait de 750$ et d’une session de 3,5% des parts de la startup. Le programme d’incubation favorise la création d’entreprise par les actifs. Pendant 4 mois les « poulains » doivent s’investir un minimum de 15 heures par semaine pour leur permettre de conserver leur emploi.

 

  • ESPACES COLLABORATIFS (NETWORKING/COWORKING)

 

LA MAISON NOTMAN

Nous avons tenu, dans cet article, à vous présenter la maison Notman et son espace collaboratif. Pourquoi la maison Notman ? Tout simplement parce qu’elle est aujourd’hui au coeur même de l’entrepreuneuriat digital, et ce depuis 5 ans déjà. Un incontournable de Montréal dans notre domaine d’activité.

 

L’histoire de la maison Notman

William Notman a été le premier photographe canadien à acquérir une renommée mondiale, grâce à ses photographies et stéréogrammes produites durant la construction du Pont Victoria de Montréal, mais aussi grâce à son poste de photographe personnel de la reine Victoria. La maison William-Notman fut acquise en 1876 par le photographe qui en fit sa résidence principale jusqu’à sa mort en 1891. Elle est aujourd’hui un lieu patrimonial de Montréal située au 51, rue Sherbrooke Ouest.

 

La maison Notman devient un haut lieu du Web

Depuis 2011, la maison a été réhabilitée pour accueillir la maison du Web. Il s’agit d’un espace collaboratif destiné aux entrepreneurs et acteurs du Web. Le Web Café est accessible au public, avec wi-fi gratuit bien entendu ! C’est ici que se retrouvent les différents acteurs pour travailler, faire des réunions ou même faire du networking/réseautage (pour parler un peu québécois !).

La maison Notman offre également des bureaux à louer, ainsi que des salles de conférence à louer pour un court laps de temps. C’est là-bas que s’organisent notamment une majorité des évènements web à Montréal. Un incontournable de la ville dans notre domaine d’études !

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter leur site internet : http://notman.org/fr/

 

  • LES STARTUPS MONTRÉALAISES

Nous avons eu la chance, lors de notre séminaire, de faire la rencontre de très jeunes startups. Nous allons donc vous présenter celles qui nous ont le plus marqués tant dans leur concept, que dans leur organisation.

 

LA BOÎTE INTERACTIVE

La boîte interactive est l’une des startups pour qui nous avons eu un véritable coup de coeur. Créée il y a tout juste un an par deux jeunes femmes : Anne Lagacé et Gabrielle Mercier, l’entreprise connaît aujourd’hui un succès grandissant. Le concept ? Permettre aux entreprises de se démarquer en offrant des expériences utilisateurs hors du commun à leurs clients, leurs employés ou leur communauté.
Les services proposés sont :

  • La consultation : il s’agit tout simplement de conseiller les entreprises pour leurs projets interactifs. Ce service comprend des formations spécialisées, la création de concepts originaux et la gestion de projets.
  • La promotion : par du marketing “expérientiel”. Mais qu’est-ce que le marketing expérientiel ? Il s’agit d’une stratégie marketing visant à impliquer directement (émotionnellement et physiquement) le public sur les lieux de promotion. De cette façon, l’expérience de l’utilisateur est plus marquante et enrichissante, et cela lui permet de s’informer simultanément sur l’entreprise et ses services. La promotion comprend le mobilier interactif, le mur interactif, et les interfaces pour les activités animées.
  • Et la scénographie : Le service permet ici la mise en scène du projet interactif. De la projection architecturale à l’habillage muséal, les options sont nombreuses et variées. La scénographie comprend les installations immersives, les performances en temps réel et le mapping vidéo.

Pour la petite anecdote, les deux jeunes associées sont intervenues dans un de nos cours sur place pour nous présenter leur travail. Elles nous ont proposé un exercice de marketing expérientiel sous une forme très ludique : nous devions piocher par équipe un lieu, une marque, et un objectif. À partir de cela, nous devions essayer de “faire leur travail”. Nous avons énormément apprécié leur énergie, leur pédagogie et leur enseignement. Et ce projet restera sans doute l’un des plus marquants de notre escale à Montréal !

Pour plus d’informations, vous pouvez retrouver le site web de la boite interactive en cliquant ici : http://www.laboiteinteractive.com

En bonus : Une photo d’un de nos rédacteurs, Sofiane, très bien entouré de Gabrielle (à droite) et Anne (gauche), les fondatrices de la boîte interactive.

 

B. LES ÉVÈNEMENTS DU DIGITAL

 

Startup fest

Depuis 2011, près de 2000 entrepreneurs de plusieurs pays viennent à Montréal pour présenter des conférences, des sessions interactives et créer une bonne ambiance dans les lieux. Dans quel but ? Tout simplement pour encourager les interactions afin de connaître le parcours de jeunes entrepreneurs, leur plan futur ainsi que leur projet dans l’avenir. Plusieurs invités se retrouvent pour apprendre comment bien démarrer son entreprise.

Malheureusement, cet évènement ne tombe que pendant la mi-juillet alors que notre séjour en Bachelor Webmarketing se déroule sur une période différente.

 

Open house

L’organisme “Porte Ouvertes Startups” propose à celles-ci d’augmenter leur visibilité en permettant aux visiteurs de pénétrer leurs espaces de travail. Ces événements, organisés dans plusieurs villes comme Toronto, Vancouver, Québec, Londres, etc, permettent de fédérer la communauté et augmenter la notoriété de leur entreprise et du milieu de l’entrepreneuriat moderne.

L’idée derrière Portes Ouvertes Startups, comme son nom l’indique, est de permettre à d’autres visiteurs de découvrir les communautés très dynamiques des startups. Les créateurs espèrent que cela permettra à tous de bénéficier d’une visibilité accrue auprès du public en général et d’établir simultanément des contacts intéressants. L’espace de travail d’une startup est souvent le meilleur endroit pour en apprendre davantage sur la compagnie, sa mission et sa culture.

 

Pour conclure ce dossier, nous pouvons affirmer que Montréal est donc bel et bien une ville à l’économie digitale dynamique notamment grâce à sa forte influence dans l’industrie du jeu vidéo, se démarquant grâce à son attractivité. Elle joue également un rôle important dans le monde de l’entrepreneuriat avec un riche écosystème de startups favorisé, à l’instar des jeux vidéo, par une législation et des infrastructures adaptées.

Lors de votre futur voyage en Bachelor 3 dans cette magnifique ville, nous vous encourageons fortement à vous intéresser à tous les événements professionnels organisés durant la période de votre visite (en dehors des visites organisées par l’ESCEN),  et prendre le temps de vous déplacer dans tous les espaces collaboratifs ouverts au grand public. Cela vous permettra à coup sûr d’élargir votre réseau et qui sait… Sauter sur une occasion à laquelle vous ne vous seriez jamais attendu avant de partir !

Nous vous remercions d’avoir pris le temps de lire notre article, en espérant que cela vous sera utile et vous servira à l’avenir !

N’hésitez pas à nous laisser un petit commentaire et à partager cet article avec vos amis.

 

 

 

NEXTU

Rédacteur web & chargé de webmarketing
Next-U Education

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